Le géant du BTP fait donc le choix d'accuser ses propres employés. Néanmoins, constate Europe 1, si « sur place, l'écoulement a bien cessé [.] la végétation reste grillée sous le ciment ». Par ailleurs, impossible d'entièrement réparer les dégâts, puisque selon les gardepêche, il reste au fond de la Seine des mètres cubes de cailloux, sable et résidus de béton ...