Mise en service le 25 janvier 2012, sa capacité de traitement passe de 26 000 à 50 000 équivalents habitants pour préserver la Bouillide, milieu récepteur des eaux traitées par l'usine : une rivière à l'étiage sévère se rejetant dans la Brague, et dont les pertes alimentent la nappe phréatique d'Antibes qui sert de .